Candidat du Parti Conservateur National, Léopold Montclair entre dans l’arène politique avec un programme assumé : autorité, identité nationale, relocalisation économique et retour à l’ordre moral.
“Ce n’est pas une promesse. C’est un engagement.”
— a-t-il affirmé sur Birdy.
Un engagement qu’il détaille ainsi :
• Restaurer l’autorité et la sécurité
• Priorité aux citoyens de San Andreas
• Relocaliser l’économie et soutenir les entrepreneurs locaux
• Rétablir l’ordre moral et le respect des règles
• Redonner la fierté d’être San Andréen
Des slogans qui résonnent étrangement avec la récente sortie du président Richard Blackwell, dénonçant sans le nommer une ligne politique brutale, fermée au dialogue, qu’il refuse d’endosser :
“Je ne peux cautionner une ligne politique brutale, fermée au dialogue […] ni laisser ma fonction devenir un instrument de contrôle plus que de service.” – Richard Blackwell
Une déclaration qui alimente les spéculations : visait-il déjà Léopold Montclair, dont l’ascension rapide et le discours assumé semblent puiser dans un répertoire autoritaire ? Certains y voient une mise en garde à peine voilée contre une ligne politique trop dure, trop fermée, qui pourrait remettre en question l’équilibre républicain actuel.
Pour certains analystes, la coïncidence est troublante :
• Tensions internes au pouvoir ?
• Glissement assumé vers une République plus dure ?
Quoi qu’il en soit, Montclair s’impose comme le visage d’un changement radical. Reste à savoir s’il incarne une patriotisation de l’État ou une dérive démocratique maquillée en renouveau
