Le président Léopold Montclair est peut-être un homme de distinction, mais en ces temps de crise, sa distinction ne sert à rien. Alors que le DOJ se remet d’une attaque armée et que des officiers du SAST ont été kidnappés, Montclair a choisi le silence. Et ce n’est pas le genre de silence qui veut dire « j’ai tout sous contrôle ». Non, c’est le genre de silence qui fait froid dans le dos.
Le Gang Suprême, un nouveau joueur dans la ville
Mes sources sont claires : une alliance de gangs a orchestré ces enlèvements, et ils ne sont pas la tête pensante. Ils agissent sous les ordres d’un « gang suprême », une entité qui, d’après mes informations, n’avait jamais été vue à l’œuvre. Ils ont coordonné la prise d’otages et les attaques simultanées, prouvant qu’ils sont plus organisés que n’importe quelle bande de rue que j’ai pu croiser.
L’inquiétude de la population
Certains murmurent que Montclair est un incompétent, qu’il est déjà dépassé par les événements. D’autres, plus cyniques, pensent qu’il est peut-être de mèche avec ces nouveaux chefs de la pègre. Peu importe la vérité, le fait est que la confiance du public s’effrite à vue d’œil. Le SAST et le DOJ sont dans le flou, et les criminels, eux, ont l’avantage.
Le testament du pouvoir
La situation est simple : le pouvoir a fait face à un défi direct, et il a baissé la tête. L’absence de Defcon n’est pas qu’une simple décision administrative, c’est un aveu de faiblesse. Si le président ne peut pas protéger ses propres institutions et ses propres agents, comment peut-il prétendre protéger les citoyens ?
Weazel News ne lâchera rien. Nous continuerons d’enquêter et de mettre la pression sur le gouvernement. Parce qu’à la fin de la journée, le peuple mérite des réponses, pas le silence d’un président qui semble s’être volatilisé.
